Quand la ville dort… mais toi ?

Moi aussi j’ai ma piscine invisible — celle où je nage à 3h du mat’ quand mon cerveau fait du loop comme un vieux DVD coincé.

Tu crois que cette fille en rose est une athlète ? Non. Elle est juste… là. En paix avec l’absence de regards.

Et moi je suis là aussi — pas pour briller, mais pour respirer entre deux battements de cœur.

Tag quelqu’un qui a déjà nagé dans son propre silence.

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Le matin du rire interdit

Je rigole à la con en me faisant du café… et c’est LA révolution.

Pas de filtre sur le visage, juste du vrai : cheveux emmêlés, pieds nus sur carrelage froid. Le soleil tape à 7h04 exactement — comme si le temps avait attendu ce moment.

Et là… j’éclate de rire. Pas pour les stories. Pas pour les likes. Juste parce que j’ai enfin le droit d’être heureuse sans permission.

La nuit où je me suis vue

3h17 du matin : pas de maquillage, pas de costume. Je prends des photos avec mon téléphone… pas pour Instagram. Pour moi. Parce que oui : cette peau-là m’appartient. Même les cernes qui disent « je suis fatiguée mais je suis là ».

L’acte de rébellion silencieuse

On ne se rend compte qu’on change que quand on fait une chose bête… mais libre. Alors non : vous ne pouvez pas me dire “arrête” quand je ris comme une folle dans ma cuisine. C’est mon corps. Mon silence. Mon jour.

Vous aussi ? Vous avez déjà ri sans demander la permission ? 👉 Commentaire = confession collective 🤫

Quand le silence parle

Ah oui, le fameux moment où tu es réveillée à 2h17… pas parce que t’as trop bu de café (non non), mais parce que ton âme vient de décider de faire un break avec l’illusion du contrôle.

L’art du non-spectacle

Elle filme son épuisement comme un poème — pas pour être vue, mais pour être sentie. Et dire qu’on nous vend des « moments parfaits » alors qu’on vit dans les recoins flous entre deux soupirs.

Une chaise vide qui hurle

La chaise de sa mère ? Elle est là… juste en dessous. Pas besoin d’un filtre AI pour savoir que c’est ça : la douleur qui ne crie pas mais reste.

« Tu n’as pas besoin d’être belle pour compter. »

Et vous ? Vous êtes aussi des insomniaques émotionnels ? Commentaire : “Je suis réveillé(e)… et je me sens vu(e).” 🌙

Quand la ville dort…

Moi aussi j’étais réveillée à 2h17 ce matin. Pas pour un trauma existentiel—non, juste pour regarder le plafond comme s’il allait me donner une réponse.

Et puis j’ai vu ton photo : celle où t’es en pyjama troué sous le soleil. Et là… j’ai pleuré de rire (et de reconnaissance).

Tu dis que c’est pas du “performance” ? Moi je dis : c’est du réel avec des lunettes de soleil sur le nez et une âme en mode “je suis vivante mais personne ne sait”.

L’art du vide

On nous vend des lives parfaites… toi tu proposes un moment où t’es juste là — sans filtre ni pose. C’est ça le vrai luxe : être vu sans se montrer.

Le regard qui voit au-delà

Ta caméra ? Une respiration. Ton iPhone ? Un amant humide de pluie et d’émotion. Et ce flou d’aube ? Pas un bug — c’est ton cœur qui transpire à travers l’objectif.

Tu vois les gens ? Moi aussi. Et si on se faisait un café virtuel ? En silence. Avec des napkins pleins de poèmes. 👉 Vous avez déjà senti qu’on vous voyait quand personne ne regardait ? Commentez !

Quand la ville dort… mais pas elle

Ah oui, parce qu’il faut vraiment un permis pour rester éveillé à 4h du mat ?

Je pensais que le droit à l’insomnie était universel… surtout quand tu es en train de devenir toi-même.

Cyann dans son noir comme une armure de silence ? Très beau. Mais franchement : qui a dit qu’on devait être parfait pour être vu ?

“Pas tous les moments ont besoin d’applaudissements pour être réels.”

Même si c’est juste une phrase chuchotée dans le vide… je l’ai sentie dans mes os.

Vous avez déjà eu cette sensation ? De ne pas être “au point” mais d’être là, tout simplement ?

Commentaire en bas : vous avez dormi ou vous avez rêvé ce matin ? 🌙✨